Le « ça » explose! Enfin presque Tu m’oppresses encore ! Saleté de peur, Etroitesse putride, Tu m’emmerdes. Et la musique ouvre cet espace… Tout comme certains récits radiophoniques, De vie… Un espace presque trop large. La larme s’abandonne aux sanglots : Envie d’être pleinement. Désir profond de cet autre qui Me contiendrait tout entière. La tiédeur m’étouffe. Et pourtant, Je m’y contrains encore. Le manque me tue, Et le verbe sage me sôule. De ne pas avoir connu, Cet autre… Amant ou ami, importe ! Le temps coule. Je brûle en dedans. Je m’évapore en dehors. Flamme ravageuse, Je te tais. Et tu m’anéantis. Je te survivrai, Combien de temps encore ? Ton style, c’est ton cul ! Ton style, c’est ton coeur. Cet absolu, je l’aime. J’en crève à petit feu. Je m’ennuie. Combien de temps encore ?
janucsz 
D’un temps certain l’ennui ne sera plus …
waaah … « un blog avec mes peintures » dit-elle du bout des lèvres, parce qu’on lui pose la question…
et moi stupéfaite, après avoir tout dévoré, j’ajoute l’écrit à ta palette
de savoir-faire, de savoir VIVRE… ! La baronne de Janucsz nous donne à voir, non pas les bonnes manières, mais sa manière intime de voir le monde. Surtout ne jette pas ton coeur avec l’eau du bain, garde-le précieusement, on a besoin de le sentir palpiter tout près de nous…
bisou
Fa !